À la naissance, les médecins décident, selon des normes de longueur du pénis ou du clitoris, si l’individu est un garçon ou une fille. C’est de là que viennent les expressions « assignée femme à la naissance » ou « assigné homme à la naissance ».

Ce sont des critères arbitraires et tous les nouveaux nés n’y correspondent pas. Aujourd’hui en France les nouveaux nés, enfants et adolescente.s intersexes sont toujours soumi.ses à des chirurgies visant à les normaliser, sans urgence vitale ni nécessité médicale. Ces chirurgies sont considérées comme des mutilations car elles sont le plus souvent effectuées sur des organes sains, sans consentement de la personne concernée et peuvent détériorer l’état de santé des personnes.

Pour en savoir plus

https://www.parlons-sexualites.fr/transidentites/